(photo mairie Perpignan)
La diffusion d’une vidéo filmée en caméra cachée à l’intérieur de l’abattoir de la ville d’Alès montrant des actes de cruauté insoutenables sur des animaux encore vivants et encore conscients au moment de la saignée, fait éclater au grand jour une réalité que le Front National n’a de cesse de dénoncer, à savoir que nos abattoirs sont devenus de véritables enceintes de torture dans lesquelles les animaux sont abattus dans des conditions indignes et scandaleuses.
Le Front National a toujours condamné avec la plus grande vigueur ces pratiques d’un autre âge qui consistent à égorger et à dépecer un animal encore vivant pour des raisons économiques liées au coût de l’étourdissement, et pour des raisons confessionnelles liées à la production de viande Halal.
Alors que les animaux ont été reconnus le 28 janvier 2015, par l’Assemblée Nationale, comme des êtres doués de sensibilité, comment peut-on continuer à accepter cette banalisation de la cruauté dans nos abattoirs ? Par ailleurs, comment peut-on infliger aux personnels de ces établissements l’obligation d’accomplir des tâches aussi dégradantes et avilissantes ?
Ne restons pas indifférents à cette situation au risque de nous rendre complices de ce massacre qui se déroule quotidiennement à notre insu.
Le Front National s’est toujours clairement positionné en faveur de la lutte contre la souffrance animale et notamment sur les conditions d’abattage, en exigeant l’étourdissement préalable de l’animal pour provoquer un état d’ inconscience et de perte de sensibilité avant la mise à mort, mais aussi en dénonçant le broyage des poussins encore vivants et en exigeant un espace vital et décent pour les animaux de batterie.
Aujourd’hui les abattoirs sont gardés comme de véritables installations militaires. Exigeons un droit d’accès à ces usines de souffrances afin de pouvoir y contrôler ce qu’on veut manifestement nous cacher.
« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux » Gandhi.