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Communiqué de presse des députés Front national
L’Assemblée nationale discutait hier soir et cet après-midi d’une résolution pour réformer son fonctionnement interne. Alors que le Président de Rugy a mis en place des groupes de travail qui ne comportent aucun député du Front national, pour réfléchir à une réforme du fonctionnement de l’Assemblée, une résolution a été déposée par les chefs de file des grands groupes (LREM, LR, Modem) pour se partager entre eux les principaux postes de notre Assemblée.
Profitant de ce texte, les députés du Front national et apparentés ont déposé un grand nombre d’amendements, (possibilité notamment d’avoir une question au gouvernement par député par session ou encore la garantie d’un temps de parole pour les non-inscrits sur tous les textes), pour que la dictature de la majorité cesse au Palais Bourbon, pour que tous les courants de pensée puissent s’exprimer dans l’hémicycle, bref pour que tous les députés aient les mêmes droits et faire ainsi cesser ce scandale démocratique de députés de seconde zone dès lors qu’ils n’appartiennent pas à un groupe.
Les représentants des grands groupes politiques ont, comme il fallait s’y attendre et malgré les déclarations de bonnes intentions des uns et des autres, rejeté toutes ces propositions constructives, rejet prenant parfois la forme du mépris notamment de la part de la présidente de la Commission des lois ; il faut toutefois noter qu’elles ont reçu un soutien de la part de certains députés de groupes minoritaires.
Les députés du Front national vont continuer à se battre pour que les millions d’électeurs qui ont fait confiance à leur famille politique soient représentés dignement dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, pour que les idées qu’ils défendent puissent être entendues, voire écoutées, pour qu’ils puissent dans les faits contrôler l’action du gouvernement et donc pour que l’Assemblée nationale soit toujours plus représentative de la diversité du peuple français !
Louis Aliot et les élus du Front National des Pyrénées-Orientales s’opposent à l’implantation d’éoliennes dans les Aspres.
Ils apportent leur soutien aux collectifs d’habitants qui dénoncent ce projet, qui défigurerait définitivement cet environnement emblématique de notre département, les contreforts du Canigou.
En effet, au-delà de la pollution visuelle qu’entrainerait la construction d’un parc éolien devant le symbole de notre territoire, les dégâts causés par cette implantation, sur cet environnement préservé, seraient irréversibles.
Il est par ailleurs regrettable que certains élus locaux, cédant à la pression des lobbies, aient voté en faveur de ce type d’intention, envers et contre la volonté des habitants, alors même que le bilan de la production d’énergie par éoliennes, est régulièrement remis en cause.
En conséquence, le Front National des Pyrénées-Orientales demande l’abandon de ce projet.
Le Front National fête aujourd’hui ses 45 ans aujourd’hui ! Bon anniversaire à tous les militants !
Communiqué de presse de Julien Leonardelli, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Garonne, Conseiller régional d’Occitanie
Dans le cadre des Assises nationales de la mobilité, la Région Occitanie organisait aujourd’hui une journée de mobilisation pour les transports collectifs et notamment, en faveur des lignes LGV de Bordeaux-Toulouse et Montpellier-Perpignan, menacées d’abandon par les dernières déclarations du Président Macron.
Membre de la Commission Aménagement du territoire au Conseil régional d’Occitanie, j’y représentais le Groupe des élus régionaux du Front National pour réaffirmer notre soutien aux projets de liaisons LGV en question.
Si le Front National plaide effectivement pour un aménagement du territoire performant, qui permettrait enfin de désenclaver le Grand Sud-Ouest, il ne peut se réjouir qu’à moitié de la prise de conscience bien tardive de ceux qui, lorsqu’ils étaient aux responsabilités ont pourtant brillé par leur immobilisme politique en la matière. Qu’ont fait les Baylet, Gayssot et Delga lors de ces dernières années ? N’ont-ils pas aussi participé tout récemment à l’élection du Président Macron qui s’applique à déconstruire la France ?
Une chose est sûre, il n’est plus temps de pleurer sur le lait renversé. Ces lignes LGV de Bordeaux-Toulouse, Montpellier-Perpignan et même de Toulouse-Narbonne sont plus que jamais nécessaires à un maillage territorial optimal, qui faciliterait les déplacements, favoriserait l’emploi et la croissance de notre région dans une France durable.
Ce combat qui doit être un combat collectif de tous les habitants et élus d’Occitanie ne doit pas masquer que la principale compétence du conseil régional en matière de Transports reste celle des trains du quotidien. De ce point de vue, Carole Delga a encore beaucoup de travail et elle ne pourra pas sur ce sujet accuser le Gouvernement.
Louis ALIOT (FN-RBM), député des P-O, conseiller municipal et communautaire de Perpignan, a écrit à la rédaction de Radio Monte Carlo (RMC) pour s’indigner et s’inquiéter après la diffusion ce jeudi matin d’un reportage réalisé dans les P-O à propos de la situation en Catalogne espagnole « « Je trouve incroyable que votre reporter RMC n’ait interrogé que les indépendantistes ultra minoritaires et extrémistes (…) ! Les catalans français, les vrais, les vieilles familles catalanes, rien ! C’est de la désinformation pure et simple. C’est incroyable ! ».
Louis ALIOT dans sa réaction peut d’autant plus compter sur un large soutien de l’opinion publique des P-O qu’à toutes les récentes élections son parti « frontiste » réalise localement à lui seul 40 à 45% des voix qui s’expriment ! (…).
Communiqué de Louis ALIOT, député des Pyrénées-Orientales, conseiller municipal et conseiller communautaire de Perpignan.
« Projet du centre commercial Comteroux validé : une énième trahison de J.M. PUJOL sur l’extension des surfaces commerciales en périphérie
La décision de la commission d’aménagement commercial des P-O du 4 octobre 2017, qui en deuxième lecture a finalement adopté le projet de 8 000m2 de zone périphérique commerciale aux portes de Perpignan en recueillant le consentement de 9 élus sur 10, acte une nouvelle fois la volonté de la municipalité d’aspirer les dernières forces vives du centre-ville vers l’extérieur.
Cette décision scandaleuse ne masque plus les ambitions macabres de M. PUJOL pour notre cœur de ville, déjà bien affecté par quarante ans de politique de prolifération des hypermarchés et divers centres commerciaux en tôle ondulée, qui par cette nouvelle offre de m2 disponibles en périphérie n’incitera pas les grandes enseignes et entrepreneurs indépendants à la reconquête des centaines de vitrines délaissées dans le centre ancien mais également du Centre Del Mon qui demeure le symbole de la suroffre récente de locaux commerciaux à Perpignan.
Je me suis toujours opposé fermement à cet énième projet de centre commercial et mettrai tout en œuvre en vue de faire capoter cette validation absurde d’un Carré d’Or bis à la Porte d’Espagne, dans le seul but de satisfaire l’appétit déjà bien aiguisé de promoteurs peu scrupuleux et d’élus irresponsables dont le remplacement s’avère une urgence absolue ».
Jean-Marx Pujol, très certainement le maire le plus nul de l’histoire de Perpignan, s’est livré dans le journal local à un concours d’autosatisfaction digne de certains potentats africains.
Enfilant des poncifs éculés sur le FN comme d’autres enfilent des perles, annonçant son adhésion au parti de Monsieur Estrosi, l’homme de la stèle du cimetière du Vernet a même poussé le bouchon à se revendiquer Gaulliste ce qui a dû en surprendre plus d’un…
Pujol est comme une éolienne avec option girouette, il brasse du vent et change encore de parti pour sauver les privilèges de son petit système hérité d’Alduy fils !
Bref l’opportunisme en politique n’a pas de limite et critiquer son ancien parti LR en tressant des couronnes de lauriers au maire communiste de Cabestany en dit long sur ses convictions réelles.
Monsieur Pujol a échoué et va échouer car la communauté urbaine et Perpignan sont dans une situation critique.
Passer la moitié de son entretien à évoquer notre opposition à ses projets fumeux prouve bien que non seulement nous existons, mais qu’il est désormais acculé à aller trouver de l’aide sur sa gauche pour exister encore.
Les forces vives de notre département doivent préparer le Perpignan de demain dans une dynamique trans-partisane de défense des intérêts locaux pour le développement économique, l’emploi et la lutte contre l’insécurité et le communautarisme.
La bataille de Perpignan est engagée !
J’observe avec une grande inquiétude l’évolution politique espagnole dans sa province de Catalogne.
Sans vouloir intervenir dans la souveraineté d’un pays étranger ami, nous ne pensons pas que le gouvernement européiste de Monsieur Rajoy ait pris les meilleures résolutions pour apaiser la situation. L’intransigeance ne fait pas une politique. Il est à noter que le PP espagnol soutenu par l’Europe technocratique de Bruxelles porte une grande responsabilité dans ces évènements. En effet, la politique européenne en soutenant les revendications régionalistes ou séparatistes ont placé certains États de l’Union dans des situations intenables.
Attaché à l’Etat de Droit et aux principes constitutionnels qui sont la base de toute action politique et démocratique, je regrette l’attitude sectaire des indépendantistes soutenus par l’extrême-gauche catalane totalitaire et antidémocratique qui ont initié ce processus contre une décision de justice constitutionnelle.
Par ailleurs, je condamne condamne l’attitude irresponsable de certains élus des Pyrénées-Orientales visant à intervenir activement et directement dans les affaires internes d’un autre pays ami, surtout par l’entremise et avec le soutien de certains anciens responsables du Front d’Alliberament Català (FAC) organisation indépendantiste et marxiste-leniniste ou encore membre d’organisation considérée comme terroriste telle Terra Lliure…Nous attendons une réaction des pouvoirs publics sur cette affaire et appelons nos amis catalans attachés à l’identité et à la culture à la plus grande prudence dans un contexte compliqué ou toutes les manipulations sont possibles.
C’est par le dialogue et la négociation que le problème catalan sera désormais résolu et non pas par la négation du Droit, l’intimidation de certains groupes extrémistes ou des provocations inutiles.
Nous considérons qu’après ce dimanche noir, Madrid doit tout tenter pour apaiser les tensions et tendre la main aux catalans dans le respect de la souveraineté de l’Espagne et de l’identité catalane.
La paix et la concorde demandent des efforts réciproques de toutes les parties au conflit. C’est notre souhait le plus cher pour nos amis espagnols et catalans.
Assassinats terroristes de Marseille
Conférence de presse de Marine Le Pen
Assemblée nationale – 3 octobre 2017
« Pour une Grande loi antiterroriste »
Deux jeunes filles, deux jeunes françaises, Mauranne 20 ans et Laura 21 ans, ont été l’une égorgée et l’autre poignardée par un islamiste alors qu’elles se trouvaient tranquillement sur le parvis de la gare Saint Charles.
Elles avaient le visage de la jeunesse et de l’insouciance, l’une et l’autre se préparaient à un métier, médecin et infirmière, au service des autres.
Nous pleurons leur mort et la vivons avec un intense chagrin, avec le sentiment d’avoir perdu injustement une fille, une nièce, l’une des nôtres, un membre, des membres, de notre famille.
Notre chagrin rejoint celui que nous éprouvons, au moment où s’ouvre le procès du frère Merah, pour notre autre compatriote Loïc Liber, devenu tétraplégique sous les balles de Mohamed Merah dont les complices présumés vont être jugés et pour les familles de militaires, les enfants atrocement assassinés de l’école Ozar Hatorah.
Face au double crime de Marseille, le gouvernement comme les médias tentent de minimiser cet acte d’une barbarie sans nom comme s’il s’agissait d’un accident de voiture, d’un aléa de la vie.
Le nom du terroriste est caché.
Le catalogue des bonnes excuses est sorti : déséquilibré, drogué, marginal …
La vérité n’en reste pas moins cruelle et, face à ces horreurs, les autorités nous répètent qu’il faut nous « habituer à vivre avec le terrorisme ».
Moi, je le dis, je le dis aux Français, nous n’avons pas à nous habituer au terrorisme ; ce n’est là que le mot d’ordre de gouvernants résignés, indignes de prétendre conduire l’Etat parce que la sécurité est le premier devoir de l’Etat.
Le Président, puis le premier Ministre, se sont fendu d’un tweet davantage pour féliciter le légionnaire qui a neutralisé le terroriste que pour parler des victimes, que pour évoquer la suite.
Puis M. Macron s’est contenté de se dire « indigné » par cet acte barbare, lui qui tirait gloire durant la campagne de ne pas avoir de programme contre le terrorisme.
Rappelez-vous le scandaleux « je ne vais quand même pas inventer un programme contre le terrorisme dans la nuit ».
On ne demande pas à un Président de s’indigner mais d’agir.
Le Ministre de l’Intérieur, lui, a pris une mine de circonstance puis s’en est allé serrer des mains à Marseille. Il convenait de faire des images.
Un Ministre de l’Intérieur qui doit expliquer qu’un étranger, multirécidiviste, en situation irrégulière depuis 12 ans, qui a été arrêté sous sept identités différentes ait pu être gardé en France.
Pire, on apprend que pris en flagrant délit de vol il y a quelques jours, il a été non seulement libéré sans poursuite pénale, mais il n’a même pas fait l’objet d’une rétention administrative faute de place, nous dit le Parisien.
Quelle honte pour ce ministre et ce gouvernement !
Quelle tragédie pour notre pays que son gouvernement, il faut le dire, est incapable de protéger !
A ce ministre, je lui ai trouvé la tête basse.
Il a raison.
C’est l’attitude qui convient, lui qui est en train de faire voter une loi sur le terrorisme qui relève du laxisme le plus éhonté.
Cette loi est une escroquerie dont nous ne serons pas complices.
Nous ne voterons pas ce texte inutile et même nuisible lors du vote solennel.
Je précise que, du fait d’un règlement antidémocratique, nous n’aurons pas de temps de parole pour une explication de texte même de deux minutes.
Cette loi sur le terrorisme est présentée par les esprits superficiels comme une incorporation des mesures de l’état d’urgence dans le droit.
En réalité il ne s’agit que d’un sous-état d’urgence c’est-à-dire que concrètement le gouvernement a abaissé l’arsenal juridique au moment où la menace terroriste se fait chaque jour plus pressante.
On débat du périmètre de sécurité, du sommeil des terroristes présumés qu’il faudrait ne pas déranger entre 21 heures et 6 heures du matin, de déradicalisation qui n’a marché nulle part au monde.
Or, déjà l’état d’urgence était peu efficace et, de surcroît, pas réellement appliqué.
Je le dis et le répète : des préfets se sont vu reprocher de faire trop de zèle durant l’état d’urgence.
On imagine que le sous-état d’urgence de M. Colomb sera encore moins efficace que l’état d’urgence classique.
Il sera encore moins appliqué parce qu’il est moins applicable du fait des méandres juridiques de mise en œuvre de ses dispositions.
Tout se passe comme si la doctrine du gouvernement, celui-là comme les précédents, ce n’est pas de faire, mais de faire croire qu’on fait.
Je voudrais vous citer quelques perles du débat qui illustrent l’état d’esprit des promoteurs de ce texte prétendument contre le terrorisme :
- Nous avions déposé un amendement pour demander le contrôle par croisement des fichiers antiterroristes des personnels de sécurité privée (on sait que la sécurité privée
est gangrenée par les islamistes) : l’amendement a été jugé « irrecevable » sans qu’il y ait de problème rédactionnel au motif que « la charge de travail » serait insupportable.
Il n’a donc même pas pu être discuté comme si cette proposition était insensée alors même que le texte prévoit de faire contrôler des périmètres de sécurité antiterroriste à des sociétés privées de sécurité.
- Nous avions demandé que soit dressée la liste des organisations terroristes, ce qui aurait permis de poursuivre pour « intelligence avec l’ennemi » toutes personnes liées à elles, en vertu de l’article 411-4 du code pénal et les condamner jusqu’à 30 ans de prison.
Le rapporteur, on ne sait si c’est par désinvolture ou bêtise, nous a répondu qu’une telle liste serait « contraire à la présomption d’innocence ».
Invoquer la présomption d’innocence à l’égard de Daesch de Boko Haram ou d’Al Qaïda, on nage en pleine absurdité voire même en pleine débilité.
- Vous rendez-vous compte que d’après le texte de M. Colomb un terroriste potentiel devra donner son accord pour la pose d’un bracelet électronique, et que ce bracelet électronique n’aura pas le droit de le géo localiser.
- Le ministre a avoué que plus de 3000 étrangers sont fichés S – on devrait dire « i » pour islamisme- en expliquant doctement qu’ils ne seraient pas obligés de quitter le territoire français.
Lors du débat, nous avons mis en évidence les deux écueils du texte :
- Il ne prend pas en compte la dimension spécifique de l’acte terroriste
- La loi Macron ne s’attaque pas à l’idéologie islamiste qui arme les terroristes
Après l’attentat de Marseille, nous demandons au Président et au gouvernement l’abandon de sa loi, ridicule au regard de la situation dramatique du pays.
Une prolongation de l’état d’urgence et l’application de toutes les lois existantes notamment celles relatives aux reconduites à la frontière.
L’ouverture d’une consultation de toutes les formations politiques représentées au Parlement.
Et le vote d’une grande loi antiterroriste qui prendrait en compte les deux impératifs que nous avons indiqués :
1) La reconnaissance de l’acte terroriste comme un acte de guerre :
Les conséquences de cette reconnaissance sont juridiques : des juridictions et des procédures d’exceptions, un traitement pénal et carcéral spécifique pour les personnes étrangères ou françaises reconnues comme ennemies de la France (ex : la mise en œuvre des incriminations de trahison), le retour de contrôles réels aux frontières de manière permanente …
Cela conduit également à traiter en amont les situations à partir desquelles les organisations ennemies de la France organisent leur guerre sur notre sol :
Les organisations terroristes recrutent parmi la délinquance : nous devons rétablir la double peine que M. Sarkozy avait abolie (c’est-à-dire l’expulsion systématique des délinquants étrangers) et d’une manière plus générale faciliter les possibilités d’expulsion d’étrangers en situation irrégulière ;
Les organisations terroristes tirent parti de notre laxisme en matière de naturalisation avec des accès à la nationalité qui relèvent de l’implantation de djihadistes chez nous : il faut réformer notre code de la nationalité ;
Les organisations terroristes tirent parti de notre laxisme judiciaire : il faut revoir la procédure et les peines pénales notamment avec le retour des peines planchers.
Les organisations terroristes tirent parti du système carcéral qui fait de nos prisons des bureaux de recrutement de Daesch : nous demandons une grande réforme pénitentiaire.
Les organisations terroristes tirent parti de l’immigration : il faut un moratoire sur l’immigration et tout particulièrement de la folle politique des migrants.
Les organisations terroristes tirent part des faiblesses de l’UE : nous devons sans attendre renoncer à Schengen et rétablir nos frontières nationales.
La reconnaissance du terrorisme comme acte de guerre devrait enfin impliquer des changements de politique en matière militaire et diplomatique avec par exemple la mise en cohérence de nos alliances militaires et politiques ou la recherche d’alliances ou de partenariats privilégiés avec certains pays (ex les états du Maghreb),
2) L’éradication de l’islamisme
En second lieu la grande loi sur le terrorisme doit avoir pour objectif l’éradication partout et sous toutes ses formes de manifestation de l’idéologie islamiste, cette idéologie politico-religieuse qui a programmé notre asservissement et nous fait la guerre et dont l’ex-procureur anti-terroriste Alain Marsaud dit qu’elle gouverne aujourd’hui plusieurs villes de France :
Dissoudre l’UOIF, interdire les Frères musulmans, éradiquer le salafisme partout, dans toutes les associations, sportives, culturelles, cultuelles.
Nous avons perdu un temps précieux que nos ennemis ont mis à profit pour se développer, se renforcer.
Cet après-midi, Ludovic Pajot pour le Groupe FN posera une question au gouvernement.
Il demandera au ministre s’il compte persister dans sa loi inutile ou s’il entend remettre le dossier du terrorisme sur la table avec une grande loi sur le terrorisme.
Communiqué de presse du Front National
Le Front National observe avec inquiétude l’évolution politique espagnole dans sa province de Catalogne.
Sans vouloir intervenir dans la souveraineté d’un pays étranger ami, nous ne pensons pas que le gouvernement européiste de Monsieur Rajoy ait pris les meilleures résolutions pour apaiser la situation. L’intransigeance ne fait pas une politique. Il est à noter que le PP espagnol soutenu par l’Europe technocratique de Bruxelles porte une grande responsabilité dans ces événements. En effet, la politique européenne en soutenant les revendications régionalistes ou séparatistes a placé certains États de l’Union dans des situations intenables.
Attaché à l’Etat de Droit et aux principes constitutionnels qui sont la base de toute action politique et démocratique, le FN regrette l’attitude sectaire des indépendantistes soutenus par l’extrême-gauche catalane totalitaire et antidémocratique qui ont initié ce processus contre une décision de justice constitutionnelle.
C’est par le dialogue et la négociation que le problème catalan sera désormais résolu et non pas par la négation du Droit, l’intimidation de certains groupes extrémistes ou des provocations inutiles.
Nous considérons qu’après ce dimanche noir, Madrid doit tout tenter pour apaiser les tensions et tendre la main aux catalans dans le respect de la souveraineté de l’Espagne et de l’identité catalane. La paix et la concorde demandent des efforts réciproques de toutes les parties au conflit. C’est notre souhait le plus cher pour nos amis espagnols et catalans.
Communiqué du Groupe « Perpignan Ensemble » avec Louis Aliot
« Mi-mandat de Jean-Marc Pujol : le vrai bilan ! »
Alors que le Maire-Président de Perpignan, Jean-Marc Pujol, entame aux frais du contribuable, une tournée d’auto-promotion ou d’auto-satisfaction afin de vanter les mérites de son « bilan à mi-mandat », les perpignanaises et les perpignanais sont en droit de s’interroger sur la crédibilité de l’action municipale de la majorité LR-REM-UDI…
En matière de Propreté d’abord, alors que notre service « Nettoiement » doit faire face à un absentéisme record, conséquence d’une politique d’embauche clientéliste menée par la majorité depuis plusieurs décennies, chacun peut constater quotidiennement les carences des Délégations de Service Publique (DSP) en matière de propreté, notamment sur la gestion des conteneurs enterrés…Le Maire bottant en touche quand il s’agit d’évoquer ce sujet, préférant rejeter la faute sur « l’incivilité » des Perpignanais ou sur la Tramontane (dixit) !
Concernant la politique sécuritaire, la lecture du journal local et les statistiques suffisent à elles seules pour démontrer les échecs de la Politique de la Ville : nuisances sonores nocturnes, trafics de stupéfiants récurrents dans certaines zones de la ville, explosion des cambriolages, augmentation des violences faites aux femmes… Les effets d’annonces sur le développement de la vidéosurveillance et l’armement de notre Police Municipale sont vite mises à l’épreuve des réalités que subissent quotidiennement les Perpignanaises et les Perpignanais !
Et ce n’est pas le faible soutien à activité commerçante de notre Centre-Ville qui viendra sauver ce bilan désastreux du Maire-Président. En effet, alors que de nombreuses enseignes nationales quittent Perpignan et que les audits économiques négatifs se succèdent, les élus de la majorité n’ont toujours pas envisagé de remettre à plat le plan de stationnement et de circulation en cœur de ville, ce qui condamne indéniablement les derniers commerces encore ouverts, à une mort certaine !
Même chose en matière de fiscalité, alors qu’était annoncé il y a peu, à grand renfort de publicité un « 0% de fiscalité supplémentaire », chaque contribuable perpignanais a vu sa feuille d’impôt local s’alourdir des 20€ consécutifs à la mise en place de la taxe « inondations » (GEMAPI), alors que cette nouvelle compétence de la Communauté Urbaine aurait pu s’accompagner de mesures d’économies !
Nul doute que le vrai bilan de cette politique désastreuse conduira en 2020 les perpignanaises et perpignanais à choisir l’alternance, avec Louis Aliot !
Communiqué de Catherine Pujol,
Suppléante du Député Louis Aliot,
Conseillère Municipale et Communautaire du Groupe « Perpignan Ensemble ».
Depuis un certain temps, je suis saisie en ma qualité d’élue d’opposition de problèmes de propreté et nuisibles dans le centre-ville de Perpignan.
Dernièrement, à midi, une jeune fille déjeunant sur un banc des jardins de la poste a vu un rat lui monter sur les pieds.
Un autre citoyen a croisé ces mêmes nuisibles dans la rue de l’Ange en pleine journée.
D’autres personnes encore m’ont fait remonter de telles informations près du Palais des Rois de Majorque et dans le Square Bir Hakeim.
Si la présence de ces animaux est normale dans les égouts d’une ville,
il est inacceptable qu’on les laisse pulluler dans les rues et les squares.
Outre le désagrément visuel, ces animaux peuvent être le vecteur de morsures et maladies.
Malgré les efforts des employés municipaux, par manque de moyen et d’initiative politique,
les conditions sanitaires de la ville se dégradent.
Pour une ville forte par son patrimoine d’une politique touristique en développement,
à laquelle notre groupe est fortement favorable, je trouve inconcevable que la Mairie de Perpignan
laisse se propager une telle faune de nuisibles dans les rues sans y remédier puisque ce phénomène subsiste depuis plusieurs mois.
Monsieur le Maire, vous investissez des millions dans un centre de sport au Haut Vernet,
ce qui est utile et je ne le conteste pas, mais vous oubliez le quotidien des perpignanais du cœur de ville.
Il ne vous reste que deux ans et quelques mois pour enfin y remédier
Communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Mois après mois, c’est le même constat terrible qui s’impose, l’accélération du désastre économique et social qui frappe la France et plonge des millions de salariés français dans l’angoisse de la précarité.
Les chiffres du mois d’août n’échappent pas à ce sinistre bilan. Après la hausse enregistrée au mois de juillet, la courbe a poursuivi inexorablement sa montée (+22300) et concerne toutes les catégories (A,B et C) pour un nombre toujours plus inquiétant de 5.65 millions de personnes affectées.
Autant de drames humains et de familles plongées dans la détresse de lendemains incertains que laissent de marbre les gouvernants, ceux d’hier comme d’aujourd’hui, répétant inlassablement les mêmes erreurs, s’accrochant dogmatiquement aux politiques économiques funestes et à un modèle ultra-libéral qui a pourtant fait la preuve depuis trop longtemps de ces effets ravageurs.
Alors même qu’Emmanuel Macron dans une opération d’enfumage médiatique promet de mettre fin à cette marche forcée vers la précarité généralisée, les premières mesures imposées, au rang desquelles les ordonnances sur la réforme du Code du travail, s’inscrivent dans la poursuite et l’aggravation de l’austérité, de l’injustice fiscale, de la concurrence internationale déloyale ou encore de l’abandon des PME-PMI au profit des multinationales.
Il est aujourd’hui plus que temps d’en finir avec cet immobilisme destructeur et impératif que la France change de cap, se réarme face à la mondialisation sauvage, se protège par la mise en place d’un patriotisme économique et s’engage résolument aux côtés des PME-PMI qui sont les poumons de notre économie.
Communiqué de presse du Front National
Lors d’un discours sur la refondation de l’Europe, Emmanuel Macron s’est montré sous son vrai visage, celui d’un européiste acharné et dogmatique.
Fidèle à cette doxa fédéraliste qui veut que la construction de l’Union européenne se fonde sur la destruction des nations, le président de la République a ravi tous ceux qui entendent dépouiller un peu plus la France de ses prérogatives et de sa liberté de décider souverainement de son avenir.
Défense européenne commune, qui n’est que l’illusion de la puissance et qui soumettra notre commandement et nos engagements à des intérêts qui ne sont pas les nôtres, mesures ineptes et inefficaces contre le terrorisme, dilapidation des derniers pans de notre souveraineté économique avec la nomination d’un ministre des finances de la zone euro, poursuite de la folle politique d’immigration massive et incontrôlée à travers la création d’un office européen de l’asile chargé d’accélérer les procédures et d’un programme européen de formation et d’intégration pour les migrants.
L’objectif est clair, le dessein précis : priver les nations de leur souveraineté pour les priver de leur puissance.
Ce discours s’inscrit en cela dans la droite ligne des politiques suivies par ses prédécesseurs de gauche comme de droite visant à accélérer l’inféodation de la France à une Union européenne technocratique, fédéraliste et résolument anti-démocratique.
A cette recherche effrénée de la dépendance qui condamne les peuples à l’asservissement, le Front National rappelle avec force que l’indépendance et la démocratie se confondent avec la souveraineté nationale et le droit inaliénable du peuple français à disposer de lui-même.
« Arrêtons de considérer le terrorisme comme un crime classique : il s’agit d’actes de guerre ! Et face à des actes de guerre, on mène la lutte avec règles et des institutions spécifiques, des procédures particulières, un système d’incarcération spécifique. »
Malgré les tentatives pour l’empêcher de s’exprimer, Marine Le Pen est intervenue ce soir à l’Assemblée Nationale à propos du Projet de Loi sur la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme.